Rencontre Paulo Coelho et Michel Hubert - 11/05/2005

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Je suis arrivé comme il me l’avait demandé à 14h très exactement devant l’hotel "Le Bristol" de Paris (Lieu de la première scène de "The Zahir"). J’ai indiqué que j’avais rendez vous avec M. Paulo Coelho au gentil monsieur derrière son comptoir, il a donc appelé paulo dans sa chambre … " M. Coelho, il y a un M. Hubert qui vous attends".

Il s’avère que Paulo ne savait pas qui était ce Monsieur Hubert et il a donc demandé à me parler .. j’ai pris le téléphone et lui ai dis que j’étais Michel HUBERT et il a dit :  " AH Michel … !!! Attendez moi j’arrive". Il faut croire qu’il me connsaisait par  mon prénom seulement :)

J’ai patienté, une grosse dizaine de minutes, peut être un quart d’heure (J’ai vu Sarkozy passé avec deux gardes du corps un devant, et un derrière) , et finlament j’ai entendu "Michel !" il était là en bas de l’escalier très luxueux de ce grand Hotel.

"Bonjour, c’est un grand honneur" dit Paulo. Moi j’ai répondu quelquechose du genre "Bonjour, heu, … c’est .. c’est pour moi que c’est un grand honneur"

Il m’a dit qu’il n’avait pas mangé et que donc on allait mangé. Je n’avais pas mangé non plus donc on est entré dans une grande pièce, et plusieurs peronnes passaient et disaient" Bonjour M. Coelho !" C’était rigolo :)  On s’est installé et on a commandé … Il m’a proposé de commandé j’ai hésité et finalemnt après avoir discuter avec le serveur j’ai pris un jus d’orange, il en a fait de même. Il a pris une salade parceque c’était rapide et j’ai pris la même : "Salade Royale". Il m’a demandé si je fumais et m’a proposé de gouter des cigarettes brésiliennes : Galaxy. Elles sont pas mauvaises du tout .. ca me change des Marlboro et Basic :)

Pendant ce temps là on a parlé du fan-club.  Il m’a demandé combien de fans vivaient à Paris, Combien était-on ? Il m’a aussi demandé quand le site en français serait prêt, etc …  Il m’a demandé si j’avais déjà assisté à une carte Blanche à la Fnac, je crois qu’il s’interrogeait beaucoup sur comment ça allait se passer parceque ce n’est pas q’une scéance de dédicaces.

Et puis on a discuté de pleins de chose. Il était très gentil et au bout d’unmoment il m’a demandé si je connaisansais la femme là bas au loin ???? (J’ai oublié le nom) je lui ai dit que non, il m’a dit que c’était une de ses amie, une comédienne italienne … j’ai regarder entre les colonnes de l’autre coté de la pièce et j’ai vu une actrice .. je lui ai dit que je la connaissais de visage mais pas de nom, il m’a dit que ce n’était pas la première fois qu’on lui disait ça .. que c’était triste sa carrière était un peu en baisse. Il m’a laissé pour allez la saluer, je l’ai vu l’embrasser, et la serrer dans ses bras. Ces deux là sont proche.

On a discuté en mangeant notre salade et voilà quelques infos.

- Paulo a lu beaucoup de Science-Fiction quand il était jeune mais ne veux pas en écrire.

- Il ne vénère pas Notre de dame de Lourdes mais L’Immaculée Conception, c’est différent.

- Les droits de "La cinquième montagne" ont été achetés parceque Paulo a été séduit par le projet qu’on lui a proposé.

- Il n’est pas séduit par le projet de Laurence Fishburne pour l’adaptation cinéma de L’Alchimiste, mais c’est le moins pire que la Warner Bros lui a proposé alors qu’elle avait achetée  les droits en 1993.

- L’écrivain qui dans onzes minutes revient de Davos et couche avec une femme rencontré dans une gare c’est bien inspiré de lui  !!

- Il aime beaucoup Monica Antunès, c’est une de ses amis.

- Il aime aussi beaucoup tout le travail que fait Marcia pour le fan Club International.

- Il vénère L’Archange Saint MICHEL à qui il a dédié un de ses livre "La Cinquième montagne"

- Il était content de son émission chez Thierry Ardisson.

- Il dit qu’il est devenu un héro à tarbes parcequ’il avait défendu Tarbes face à Thierry Ardisson.

- Un article dans le journal local a été écrit là dessus.

- Il devait faire l’émission de Laurent Ruquier "On a tout essayé" le jeudi mais il venait d’avoir un appel de son attaché de presse qui ne voulait pas qu’il la fasse.

- Il ne fera pas d’autres émissions télé, il n’en fait qu’une parceque sinon, il a l’impression de se répéter. Tout comme les interviews pour les journaux écrits d’ailleurs

Je ne vous raconte pas tout … ce qu’on s’est dit quand même.

Sa femme l’a appelée sur le portable et il m’a dit qu’elle était chez eux à Saint Martin près de Tarbes et allait partir faire un pélerinage de 12km à Notre dame de la piéta près de chez eux.

Je lui ai fait dédicacé l’exemplaire du Zahir d’ Alina Tomi, une membre Roumaine du groupe pour son anniversaire (Je lui ai envoyé le jour même) et mon exemplaire. Il l’a fait avec grand plaisir. Puis je lui ait fait signé tous les livres que j’avais de lui .. Ca l’a fait rire et ca lui a fait plaisir de voir toute la collection.

Pour signer les livres, j’ai demandé un stylo à la serveuse, que Paulo appelait tout le temps par son prénom Carole, et ca l’a fait rire, il lui a dit qu’elle allait devenir célèbre grace à lui ! Il m’a dit de garder le stylo du Bristol en souvenir.

Dédicaces pour ALina : "Pour Alina Tomi. Croyez aux signes. Bon anniversaire. Paulo Coelho". Pour moi : " Michel, guerrier de la lumière. Merci pour votre travail. Paulo Coelho"

Il m’a demandé comme écrire Anniversaire et si c’était masculin ou féminin et aussi s’il y avait un acccent sur Lumière .. Je lui ai dit et je lui ai aussi dit que j’étais impressionné par sa maitrise du français et je lui ai demandé s’il l’avait appris à l’école il  a ri, et a dit qu’il l’avait appris avec une professeur japonaise :)

Il est partie en demandant à ce que je puisse finir calmement de manger parcequ’il avait d’autres choses à faire. Avant de partir il m’a dit qu’il fallait qu’on se revoit et qu’on ait une relation plus proche ! On s’est salué et il est parti.

Voilà, je suis passé par un stress au début, j’étais pas à  mon aise, j’étais dans un hotel 5 étoiles, avec un écrivain que je lis depuis des années mais il a réussi à me détendre  … un peu. J’ai dû lui paraitre finalement très timide. Mais finalement je suis super content, c’est comme un rêve réalisé.

Michel HUBERT

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